Et vous, qu’en pensez-vous ? Qu’est-ce qui VOUS semble être le plus gros défi pour les Vosgiens aujourd’hui ?

On trouve de tout :

• Cabanes perchées dans les sapins, pour se réveiller avec le chant des oiseaux.
• Bulles transparentes, parfaites pour admirer les étoiles ou la neige sans bouger du lit.
• Chalets traditionnels en rondins pour l’ambiance montagnarde.
• Et même des hébergements atypiques comme des tiny houses, des roulottes ou des yourtes.

Avez-vous déjà testé ce genre de séjour dans les Vosges ?

• Où recommanderiez-vous d’aller ?
• Quel est le logement qui vous a le plus marqué ?
• Plutôt cocooning au coin du feu ou nuit à la belle étoile ?

Vos retours peuvent donner des idées à d’autres pour un week-end dépaysant ou un cadeau original .

merci

bonsoir et bienvenue

bienvenue

500 mbps ça se dit comme ça je crois ça marche bien

merci

merci mp envoyé

La question est : quelle priorité donner à leur gestion ?

• Faut-il exploiter davantage le bois pour créer de l’emploi local et générer des revenus pour les communes ?
• Ou bien renforcer la protection des écosystèmes et développer un tourisme nature plus doux (sentiers balisés, zones protégées, activités pédagogiques) ?
• Est-ce possible de trouver un équilibre entre économie, écologie et loisirs ?

Qu’en pensez-vous ? Quelle orientation devrait prendre notre territoire pour l’avenir de nos forêts ?

Le Secours Catholique de Gérardmer vous invite à sa grande braderie de fin de saison, le samedi 14 septembre à la boutique solidaire Le Chalet (au fond du parking du supermarché MATCH).


En venant chiner, vous faites bien plus qu’une bonne affaire : chaque achat contribue à financer des projets solidairesau profit de personnes en situation de précarité.

Un geste simple, une bonne action… et l’occasion de donner une seconde vie aux objets !

Et si nos poubelles devenaient un peu plus lourdes ce mois-ci ? L’UVE FENIIX de Rambervillers, pilier de la valorisation énergétique dans les Vosges, ferme ses portes pour trois semaines de maintenance. Résultat : des tonnes de déchets à rediriger et un défi collectif à relever.​

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Une usine au service du quotidien​

Toute l’année, l’Unité de Valorisation Énergétique (UVE) FENIIX transforme les déchets non recyclables des Vosgiens en ressources utiles :

• de la chaleur pour une vingtaine de bâtiments communaux,
• de l’électricité pour environ 60 000 foyers.

Une technologie moderne, locale, qui limite la pollution et soutient la transition énergétique.

Trois semaines sans valorisation​

Chaque année pourtant, l’installation doit s’arrêter pour maintenance technique. En septembre 2025, ce sont 4 400 tonnes de déchets qu’il faudra rediriger ailleurs – l’équivalent de 44 baleines bleues ! Une partie finira enfouie, et le reste sera traité dans d’autres usines, parfois hors département. Résultat : davantage de camions sur les routes et donc plus d’émissions de gaz à effet de serre.

Une contrainte… et une opportunité​

Cet arrêt, indispensable pour maintenir la sécurité et la performance de l’usine, peut aussi être l’occasion de repenser nos habitudes. Dans les Vosges, chaque habitant produit en moyenne 217 kg d’ordures ménagères par an, dont une bonne partie pourrait être évitée ou mieux valorisée.

Des gestes simples pour alléger nos poubelles​

• Composter : jusqu’à 30 % du contenu de nos poubelles est organique.
• Trier : papier, plastique, verre… chaque geste compte.
• Réduire le jetable : privilégier le réutilisable.
• Limiter le gaspillage alimentaire : planifier ses courses.

Vers un “septembre sans déchets” ?​

Moins de déchets, c’est moins de transport et moins de pollution. Pourquoi ne pas transformer ce mois d’arrêt en défi collectif ?
Et si, en 2026, au lieu de 44 baleines bleues de déchets, on n’en comptait plus que 39 ?

Alors qu’il devait s’agir de la dernière édition, le 7e Salon de la Protection Animale organisé par Au Nom Des Animauxa finalement ouvert une nouvelle perspective. Le président Dominique Franiatte avait en effet annoncé qu’il mettrait fin à son engagement à la fin de l’année 2025.

Pourtant, face au succès rencontré les 16 et 17 août derniers au parc Jean-Mansuy, l’association a décidé de prolonger l’aventure. « Ce salon fut notre meilleur, aussi bien pour l’organisation que pour le bilan financier », souligne le bureau, qui a finalement tranché : il y aura bien une 8e édition.

Les amoureux des animaux ont donc déjà rendez-vous les 22 et 23 août 2026, toujours au parc Jean-Mansuy, au pied de la Tour de la Liberté.

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Entre stabilité et changement​

Lors de ses échanges sur le terrain comme sur les réseaux, le parlementaire constate des avis très partagés : certains insistent sur la nécessité de préserver une stabilité politique, d’autres expriment au contraire un fort désir de renouveau et de rupture avec l’exécutif actuel.

Une démarche “novatrice”​

Christophe Naegelen précise qu’il dispose déjà de sa propre opinion, mais souhaite enrichir son analyse par une consultation plus large. « Je trouvais que c’était une manière plus complète de prendre le pouls de la population », explique-t-il, tout en assurant qu’il tiendra compte des réponses au moment de voter.

Une méthode à renouveler ?​

L’élu n’exclut pas de reproduire cette démarche à l’avenir, même s’il reconnaît que tous les textes ne s’y prêtent pas : « Certains projets de loi sont trop techniques pour être résumés en quelques lignes. Mais sur d’autres, je pense réitérer l’expérience. »

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(Source photo : Marc FOURNIQUET)​

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Un record de participation​

Jamais la manifestation n’avait accueilli autant d’exposants : plus de cent stands étaient installés cette année, contre 80 à 90 en moyenne lors des précédentes éditions. Un chiffre qui témoigne du dynamisme et de la diversité du tissu associatif déodatien.

Une formule qui séduit toujours​

Comme à l’accoutumée, le principe restait simple mais efficace : permettre aux visiteurs de rencontrer directement les bénévoles et représentants d’associations sportives, culturelles ou sociales, de poser des questions et de s’informer sur leurs activités.

Des découvertes et des vocations​

Démonstrations, initiations, échanges et inscriptions ponctuaient la journée. L’événement a ainsi donné à certains l’opportunité de s’essayer à de nouvelles disciplines, de s’engager comme bénévoles, ou tout simplement de trouver une nouvelle passion.

Une cagnotte en ligne a été ouverte par l’une des filles du couple afin de soutenir la famille frappée par le drame. L’initiative a déjà suscité de nombreux témoignages de solidarité. De son côté, le ministère des Affaires étrangères a présenté vendredi 5 septembre « ses condoléances à la famille et aux proches ».

Le drame est survenu mercredi 3 septembre à Lisbonne, lorsqu’un funiculaire a déraillé, provoquant la mort de 16 personnes et faisant une vingtaine de blessés. Parmi elles, une Vosgienne originaire de Saint-Dié-des-Vosges, Blandine Daux, et son mari André Bergeron, tous deux restaurateurs d’objets patrimoniaux.

Leur histoire avait commencé au Canada, où Blandine s’était installée dans les années 2000 après avoir étudié au lycée Jules-Ferry de Saint-Dié puis à l’Université de Strasbourg. C’est là qu’elle avait rencontré André. Ensemble, ils avaient construit leur vie professionnelle et familiale, élevant deux filles.

Claude R. a dit:

Les joueurs deTarot vieillissent et les concours de Tarot se rarefient... Ban de Laveline resiste. Concours dimanche 14 septembre
...c est très bientôt !

Cliquez pour agrandir...

Bienvenue Claude. Intéressant partage.

quelle gardent leur indépendance, c'est mieux

Merci pour le partage

Budget mini, 2 enfants (6 et 9 ans). On a déjà fait la navette des crêtes. Une animation locale, musée, ou balade courte + goûter ? Merci pour vos bons plans.

Option 1 : Miser sur la rénovation​

• Rénover les logements anciens, souvent mal isolés et énergivores.
• Améliorer le confort des habitants tout en réduisant leurs factures d’énergie.
• Préserver le patrimoine local et limiter l’artificialisation des sols.
• Mais : coût des travaux élevé, contraintes techniques, temps long.

Option 2 : Construire du neuf​

• Développer des logements modernes, écologiques et adaptés aux normes actuelles (accessibilité, performance énergétique).
• Répondre rapidement à la demande de certains ménages, notamment les jeunes familles.
• Favoriser l’attractivité des Vosges avec des résidences neuves.
• Mais : risque de laisser des logements anciens vacants, artificialisation de nouvelles terres.

Et vous, qu’en pensez-vous ?
Faut-il investir prioritairement dans la rénovation de l’ancien, ou développer davantage de constructions neuves?