La RN57 a été le théâtre d’un tragique accident ce jeudi après-midi. À l’entrée de la quatre voies de Pouxeux, en direction de Remiremont, un motard belge d’une cinquantaine d’années a perdu la vie dans des circonstances encore indéterminées.

Dès l’alerte donnée, une vingtaine de sapeurs-pompiers vosgiens se sont rendus sur place pour intervenir rapidement et sécuriser les lieux. Les forces de l’ordre, elles, ont pris en charge la régulation du trafic et les premières constatations.


L’accident a provoqué d’importants ralentissements, générant des bouchons dans les deux sens de circulation sur cet axe très emprunté reliant Épinal et Remiremont. Les autorités appellent à la plus grande vigilance des automobilistes dans le secteur.

Une enquête a été ouverte afin d’éclaircir les circonstances exactes de ce drame.

Un carrefour de possibilités
Le forum propose un panorama complet des secteurs représentés dans la région : industrie, artisanat, commerce, intérim, métiers de l’armée, action sociale, mais aussi création et reprise d’entreprise. Autant d’opportunités pour ceux qui souhaitent découvrir un métier, s’informer sur une formation, décrocher un emploi ou encore préparer un projet entrepreneurial.

Un levier pour les acteurs économiques
Pour les entreprises participantes, l’événement constitue une vitrine idéale : valoriser leur activité, aller à la rencontre de futurs talents et développer leur réseau professionnel. Les partenaires institutionnels y trouvent également un espace propice pour soutenir l’économie locale et favoriser de nouvelles coopérations.

Un focus sur la ligne 14
Particularité de cette édition : la réouverture de la ligne 14, qui s’accompagne d’importants besoins en recrutement. Les visiteurs pourront s’informer directement sur les postes proposés et les perspectives offertes par ce projet structurant pour la région.

Dans une ambiance conviviale, le forum des métiers de Mirecourt continue donc de jouer son rôle : rapprocher les habitants et les professionnels, et confirmer sa place d’événement incontournable pour l’avenir du territoire.

​

​

Une édition ancrée dans l’actualité​

Le thème retenu, « Pouvoir », résonne particulièrement dans un contexte mondial marqué par des tensions géopolitiques et sociales. Les conférences et tables rondes interrogeront la place des grandes puissances, la recomposition des alliances internationales, mais aussi le pouvoir d’agir, individuel et collectif.

L’Indonésie mise à l’honneur​

Pays invité de cette édition, l’Indonésie sera au cœur de la programmation littéraire et culturelle. Avec ses 270 millions d’habitants et ses 18 000 îles, l’archipel reste encore méconnu en Occident. Son écrivain phare, Eka Kurniawan, présidera le Salon du Livre, offrant un éclairage unique sur ce pays majeur de l’Asie du Sud-Est.

Des invités de marque​

Parmi les figures attendues : la climatologue Valérie Masson-Delmotte, la journaliste Raphaëlle Bacqué, le moine bouddhiste Matthieu Ricard, le journaliste Edwy Plenel ou encore l’écrivain Michel Bussi. Un panel éclectique pour croiser les regards et nourrir la réflexion.

Nouveautés 2025​

Parmi les innovations, deux rencontres interactives « Vous avez des questions ? », un retour du speed-meeting géographique et un chapiteau transformé en guinguette musicale en soirée au parc Jean-Mansuy. Pour la première fois, un bilan carbone du festival sera également réalisé, marquant l’engagement éco-responsable de l’événement.

Les incontournables toujours présents​

Le FIG conserve aussi ses rendez-vous phares : conférences, expositions, spectacles, projections, Salon du Livre, FIG Junior, Place de la Gastronomie, ou encore la fameuse carte IGN géante installée à la gare.

Infos pratiques​

Le programme complet est disponible en ligne sur fig.saint-die-des-vosges.fr et en version papier (2 €) à l’Office de Tourisme, à la librairie Le Neuf, au tabac-presse « Le Lutetia » et à l’espace culturel E.Leclerc.

​

​

Un cortège dans le centre-ville​

Le défilé a démarré devant la préfecture avant de remonter les quais vers la place des Vieux Moulins. Le cortège a ensuite traversé la place des Vosges, emprunté la rue Léopold Bourg et rejoint le carrefour des Quatre Nations, avant de revenir à son point de départ.

Des actions pacifiques et symboliques​

Tout au long de la journée, les manifestants ont mené plusieurs actions : distribution de tracts, ralentissement de la circulation et présence marquée dans l’hypercentre. Les organisateurs ont insisté sur la volonté de garder un mouvement pacifique, destiné avant tout à sensibiliser.

Et après ?​

La mobilisation s’est terminée au parc du Cours, où une partie des participants a échangé sur les prochaines étapes et les formes futures que pourrait prendre ce mouvement.

Dès le 1er octobre, le magasin « Au paradis du pêcheur », tenu par Pierre Stahl, quittera la rue d’Alsace pour s’installer rue Concorde, à proximité des quais et de la Place du Marché.


Ouverte seulement au printemps dernier, l’enseigne connaîtra ainsi un nouveau départ dans un local plus spacieux. Cette évolution permettra non seulement d’élargir l’espace dédié aux articles de pêche.

Une propagation rapide évitée​

Le feu a mobilisé 31 sapeurs-pompiers. À leur arrivée, les flammes menaçaient déjà la toiture d’une maison voisine. Grâce à leur intervention, l’incendie a pu être circonscrit avant qu’il ne ravage entièrement le groupe de trois habitations mitoyennes.

Une maison détruite, une enquête en cours​

La maison sinistrée est quasiment détruite, mais la propagation a été stoppée et aucun blessé n’est à déplorer. Une enquête est ouverte afin de déterminer l’origine exacte du feu.

Des résultats immédiats​

Le pari semble réussi. À peine une heure après le début de la session, Nadège Carré (directrice déléguée du site de Fraize) et Karine Legrand (directrice déléguée à Gérardmer) se réjouissaient déjà d’avoir reçu « une vingtaine de CV très intéressants », avec plusieurs candidats présélectionnés pour la suite.

Tous les métiers représentés​

L’événement, organisé en partenariat avec France Travail, la Mission locale et Cap Emploi, a permis de mettre en avant la diversité des métiers hospitaliers : soins, urgences, HAD, EHPAD, mais aussi cuisine, services techniques, médico-social et administration. L’ensemble des équipes a joué le jeu, valorisant le climat d’entraide et l’ambiance de travailcomme atouts de recrutement.

Une dynamique à poursuivre​

Pour les organisateurs, ce Job Dating doit devenir un rendez-vous régulier et attendu, afin de renforcer l’attractivité des HMV, préparer les besoins futurs et lever les freins des candidats. Formation, conditions de travail, gestion prévisionnelle des effectifs : autant de leviers que les établissements comptent développer pour fidéliser leurs équipes.

Un focus sur l’histoire militaire​

Animée par Axel Balland, historien et membre de la commission Temps de Guerre de la Société Philomatique Vosgienne, cette rencontre s’inscrit dans le cadre du 70e anniversaire de l’engagement de la division.

L’historien reviendra sur les opérations des différentes unités (26e, 151e, 152e et 153e RIM, 16e et 31e Dragons, 8e RA et 52e Bataillon des Services) et expliquera comment la division s’est adaptée au terrain algérien, notamment avec la création des commandos de chasse dès 1959.

Des récits vosgiens et des objets historiques​

La conférence mettra en lumière la vie quotidienne des soldats, avec un focus particulier sur plusieurs militaires originaires des Vosges, tout en retraçant les événements de 1962 et leurs suites. Des objets historiques viendront enrichir la présentation.

Une suite culturelle​

À l’issue de la conférence, une visite commentée de l’exposition « La Philomatique de musées en musée » sera proposée aux participants.

De l’idée à la conception​

Répartis en équipes de 7, ils ont travaillé ces derniers mois dans les locaux de la Pépinière d’Entreprises, en lien avec le FabLab. Guidés par la designer Angélique Milot, les jeunes ont imaginé 5 modèles différents. La fabrication s’est ensuite concrétisée grâce à l’impression 3D.

Le concours en ligne​

Une fois les prototypes réalisés, un concours a été lancé sur Internet. En l’espace d’un mois, près de 1 900 votes ont été enregistrés pour départager les créations.

Le grand vainqueur​

Avec plus de 700 suffrages, c’est le composteur « Ananas » qui a remporté la compétition. Son design original séduit, au point qu’une éventuelle production en série pourrait être envisagée à l’avenir.

La remise des prix​

La conclusion de l’initiative a eu lieu ce jeudi après-midi lors d’une cérémonie conviviale de remise de prix. Les lauréats ont reçu médailles et coupes, et le premier prix s’est vu attribuer en bonus un an d’abonnement au FabLab, partenaire central du projet.

Un apprentissage citoyen et entrepreneurial​

Au-delà du concours, l’objectif était d’initier les jeunes à la création en entreprise et de leur prouver que chacun peut être acteur d’un projet. Une démarche enrichie par une sensibilisation au compostage et à la valorisation des déchets.

À partir du lundi 29 septembre, des travaux pour la pose de la fibre optique vont entraîner une interdiction de circulation sur le chemin de la Hardalle, pour environ 20 jours.

Des déviations seront mises en place.
Le stationnement sera interdit aux abords du chantier, sauf pour les véhicules de secours, d’intervention et de l’entreprise.

​

(Source internet)​

Inauguré ce 11 septembre – une première dans les Vosges​

Labellisé par l’État, le site a été inauguré jeudi 11 septembre : c’est le premier Campus connecté du département.

Où, comment ?​

• Lieu : internat de la Cité scolaire Jules-Ferry (espaces dédiés et aménagés).
• Modalités : accès gratuit au Campus ; les frais d’inscription restent à régler auprès des établissements qui délivrent les formations (montants variables).

Un maillon d’un réseau national​

Créés en 2019 par le ministère de l’Enseignement supérieur, les Campus connectés visent à réduire les inégalités territoriales en offrant des tiers-lieux d’apprentissage hybrides.
Saint-Dié intègre désormais le réseau des 90 Campus connectés. Le projet, porté par l’Agglomération, a été retenu en mai 2024 via une convention sur 5 ans.

Pourquoi c’est utile (et stratégique)​

En France, >80 % des étudiants sont concentrés dans 30 grandes unités urbaines : le Campus connecté rapproche l’enseignement supérieur des territoires et renforce l’attractivité locale en facilitant la formation et l’insertion sans déménager.

Financements & fonctionnement (en toute transparence)​

• Région Grand Est : 170 000 € pour l’aménagement/séparation des locaux.
• Mise à disposition des espaces : valorisée 15 000 €/an.
• Subventions État (MESR) : 60 000 € en 2024, puis 60 000 €/an de 2025 à 2028
  • dont 50 000 € pour l’Agglomération
  • 10 000 € pour l’IUT de Saint-Dié (accès aux services Université de Lorraine).
• Charges de fonctionnement (chauffage, électricité, eau, déchets) : 2 756 €/an à la charge de l’Agglomération.

Résultats attendus (et déjà observés au national)​

Les premiers bilans (mai 2025) affichent 85–90 % de réussite, peu d’abandons, et un gain d’autonomie, de motivation et de confiance chez les étudiants.

Infos & contact​

Pour les modalités d’inscription et l’accompagnement : Romy Cossutta – romy.cossutta@ca-saintdie.fr
Informations à jour également sur le site de l’Agglomération.

Une marque née en 2012​

Créée par le Conseil départemental des Vosges, forêt l’Effet Vosges a vu le jour en 2012 pour dynamiser l’hôtellerie. Après une phase de transition en 2017, son périmètre s’est élargi. Désormais, elle fédère 134 partenaires : hébergements variés, offices de tourisme, stations thermales, structures spécialisées dans les « bains de forêt » ou encore jardins atypiques. Le réseau couvre un vaste territoire allant de la Petite Pierre aux Mille Étangs, en passant par l’Alsace, la Franche-Comté et bien sûr les Vosges.

Une référence du bien-être et de la déconnexion​

Avec un succès commercial grandissant, la marque s’impose comme un symbole de bien-être et de valorisation des ressources locales. Outre l’hôtellerie et le tourisme, elle développe des offres de séjours tout compris et une gamme de cosmétiques forestiers en partenariat avec un laboratoire d’Illkirch-Graffenstaden. Certains établissements réfléchissent même à créer des packagings personnalisés pour renforcer leur identité.

Une vision collective​

Pour Franck Perry, vice-président en charge de l’Économie, du Tourisme, de l’Agriculture et de la Forêt, FORêT l’Effet Vosges incarne un véritable art de vivre :

« C’est une marque qui unit, qui rassemble et qui représente une aventure collective. Elle pèse de plus en plus, non seulement dans les Vosges, mais aussi comme argument régional grâce notamment aux stations thermales qui sont devenues de vrais fers de lance. »

Cliquez pour agrandir...

Et demain ?​

Depuis 2020, la marque s’adapte aux nouvelles attentes : déconnexion, bien-être et expériences immersives au contact de la forêt. Les pistes de développement sont nombreuses et l’ambition reste claire : continuer à faire rayonner la forêt vosgienne en France et au-delà.

Le Ballon d’Alsace culmine à 1 247 mètres et marque l’un des points emblématiques du massif des Vosges. Mais une question divise : fait-il vraiment partie des Vosges ?

Côté géographique :
Oui, car il appartient au massif vosgien, cette chaîne de montagnes qui s’étend bien au-delà du département 88. À ce titre, il est un sommet “vosgien” comme le Hohneck ou le Grand Ballon.

Côté administratif :
Non, car il n’est pas situé dans le département des Vosges. Le Ballon d’Alsace se partage entre le Haut-Rhin (Alsace), le Territoire de Belfort et la Haute-Saône.

Résultat : certains le revendiquent comme symbole du massif vosgien, d’autres rappellent qu’il n’appartient pas au département des Vosges.

Et vous, qu’en pensez-vous ?​

Le Ballon d’Alsace est-il vosgien par la montagne ou alsacien/belfortain par l’administration ?

Journée d’annonces​

Ce mercredi, le Premier ministre a multiplié les signaux. Après avoir annoncé la création prochaine d’un réseau de 5 000 maisons France Santé, il a accordé son premier entretien à la presse régionale, dont Ouest-France (groupe Sipa-Ouest-France).

Retour sur une mesure polémique​

L’une des annonces les plus marquantes : le retrait pur et simple de la suppression de deux jours fériés, une mesure initiée par François Bayrou dans le cadre de son budget. Contestée, elle avait contribué à la chute de l’ancien chef du gouvernement.

Cap sur le Budget​

Au sujet du prochain Budget, Sébastien Lecornu affirme vouloir une discussion « moderne et franche », « de très bon niveau », avec le Parti socialiste, les Écologistes et le PCF.
Sa ligne : réduire le train de vie de l’État, en fermant ou fusionnant certaines agences et offices, et en mettant fin à certains privilèges des anciens ministres.

Ses limites et ses intentions​

Concernant la réforme des retraites, il précise qu’il n’est pas question de relancer les débats pour l’instant.
En revanche, il se dit déterminé à redonner toute leur place aux parlementaires. « Je ne souhaite pas être contraint d’utiliser le 49.3. Si c’était le cas, ce ne serait pas seulement un échec du gouvernement, mais un échec collectif », a-t-il souligné.

Et vous, qu’en pensez-vous ?
Vos avis permettront d’alimenter la réflexion collective et d’imaginer ensemble des solutions pour que l’Agglo reste attractive et dynamique pour les générations à venir.

Ce mois-ci, nous vous proposons de mettre en lumière ces joyaux naturels à travers vos photos et vidéos.
Qu’il s’agisse d’un reflet doré au lever du soleil, d’une sortie en famille au bord de l’eau, d’un moment sportif en kayak ou d’un paysage brumeux mystérieux, chaque regard compte.


Ensemble, créons une galerie collective qui montre à quel point nos lacs sont vivants, beaux et uniques .

À toi de choisir ton style :

• Nature & paysages : forêts, lacs, montagnes, cascades…
• Patrimoine & culture : villages, monuments, traditions locales…
• Gastronomie : munster, brimbelles, tofailles, tarte aux myrtilles…
• Moments de vie : fêtes, marchés, sport, instants insolites…
• Humour & décalé : laisse parler ton imagination

Le but ? Créer une mosaïque collective des Vosges à travers vos regards.

Pas de compétition, juste du partage et du fun.
À la fin, on pourra élire l’album coup de cœur ou la photo la plus originale.

Des actions pensées pour le quotidien​

Les projets concernent directement les besoins des personnes et de leurs proches :

• Répit à domicile pour les aidants,
• Nouvelles places médico-sociales,
• Accompagnement des jeunes en double vulnérabilité (handicap + ASE),
• Soutien spécifique aux personnes autistes, avec TND ou vieillissantes,
• Passerelles entre le milieu ordinaire et spécialisé.

Un investissement massif : 22,3 M€​

• 1 500 solutions médico-sociales → 12,8 M€
• 78 dispositifs en milieu scolaire → 1,25 M€
• 3 450 solutions via les Pôles d’Appui à la Scolarisation → 8,3 M€

Au total : 6100 solutions nouvelles d’ici fin 2025 → près de 30 millions d’euros investis.

Et après 2025 ?​

Les priorités déjà fixées pour la suite :

• Développer le médico-social mobile pour rester chez soi,
• Anticiper le vieillissement des personnes handicapées,
• Réduire les ruptures de parcours,
• Valoriser les établissements spécialisés comme ressources pour tous,
• Assurer une équité territoriale dans les financements.

Un projet de société​

Au-delà des chiffres, c’est une vision : renforcer l’inclusion, améliorer la qualité de vie et soutenir les parcours de vie.
Chaque solution créée rapproche un peu plus d’un territoire solidaire, équitable et ouvert à tous.

​

​

Un enjeu pour l’avenir du territoire​

Ce qui existe déjà​

• Mission Locale : accompagnement des 16-25 ans dans la recherche d’emploi, de formation ou de stages.
• France Travail : appui aux jeunes demandeurs d’emploi avec des offres locales.
• Campus connecté de Saint-Dié : poursuite d’études supérieures sans quitter le territoire.
• Forums & job dating : certains organisés par les Hôpitaux du Massif des Vosges, ou avec les agences d’intérim locales.

Les difficultés rencontrées​

• Peu d’offres de stages et d’emplois adaptés aux jeunes diplômés, notamment dans certains secteurs innovants.
• Mobilité compliquée : sans permis ou sans voiture, difficile d’accéder aux entreprises éloignées du centre-ville.
• Manque de visibilité : beaucoup de jeunes ignorent les opportunités existantes dans les PME et associations locales.

Des secteurs porteurs à développer​

• Santé & médico-social : fort besoin en recrutement (hôpitaux, EHPAD, soins à domicile).
• Artisanat et métiers manuels : des filières qui recrutent, mais manquent de visibilité.
• Tourisme & culture : valorisation du territoire, hébergement, loisirs, patrimoine.
• Numérique & transition écologique : métiers émergents, souvent méconnus localement.

Des pistes pour demain​

• Créer des partenariats renforcés avec les entreprises locales pour multiplier stages et alternances.
• Organiser un Forum annuel de l’emploi des jeunes dans l’Agglo.
• Soutenir l’entrepreneuriat des jeunes (aides financières, accompagnement à la création d’entreprise).
• Développer des solutions de mobilité adaptées (navettes, covoiturage solidaire, vélo électrique subventionné)

Questions

1. Selon vous, quelles sont les principales difficultés que rencontrent les jeunes pour trouver un emploi dans l’Agglo ?
2. Quelles actions devraient être mises en place en priorité pour mieux accompagner l’insertion professionnelle des jeunes ?
3. Comment l’Agglo pourrait-elle encourager davantage les jeunes à rester et travailler sur le territoire ?

​

​

Des voix multiples, un même message​

À Saint-Dié, la place Jules-Ferry a rassemblé dès 10h environ une centaine de participants, venus d’horizons variés : syndicalistes, anciens gilets jaunes, militants associatifs, défenseurs de la cause palestinienne ou simples citoyens en colère.
La tonalité était claire : un rejet du système politique actuel, de la politique du président Emmanuel Macron et de ce qu’ils appellent « la mainmise des ultra-riches ».

Paroles ouvertes et colère pacifique​

L’ambiance s’est voulue pacifique, sans blocage ni débordement. Chacun pouvait s’exprimer librement.

• Stéphane, syndicaliste, a vu dans ce mouvement « la énième mobilisation d’un peuple arrivé au bout d’un système ». Pour lui, une assemblée constituante serait nécessaire pour rebâtir les institutions.
• Christian, ancien gilet jaune, est venu rappeler son mécontentement : « Les politiciens ne tiennent pas compte du peuple. Si on ne bouge pas, rien ne changera. »

Des thèmes récurrents​

Les prises de parole ont mis en avant les difficultés du service public, notamment dans le domaine de la santé, le déclassement social, et des appels à la désobéissance civile. Certains ont aussi évoqué la nécessité de nouvelles formes de mobilisation locale.

Une suite annoncée​

En fin de matinée, le rassemblement s’est transformé en marche dans le centre-ville, encadrée et autorisée par la Police à condition de ne pas gêner la circulation.
Les manifestants ont donné rendez-vous à 15h, toujours place Jules-Ferry, pour poursuivre la mobilisation dans le même esprit.

Rendez-vous le 21 septembre​

C’est un rituel attendu par des milliers de visiteurs : la Grande Braderie de Saint-Dié-des-Vosges se tiendra le dimanche 21 septembre 2025. Pour sa 74e édition, près de 250 exposants non-sédentaires investiront le centre-ville, un chiffre stable par rapport à l’an dernier.

Un parcours géant au cœur de la ville​

Dès 8 h et jusqu’à 19 h, les 20 000 à 25 000 visiteurs attendus pourront parcourir près de 1 500 mètres d’étals, de la rue d’Alsace à la rue Thiers, en passant par la place Saint-Martin et les quais Leclerc, De Lattre et Jeanne-d’Arc.

Nouveautés 2025​

Cette année marque le retour des stands rue Gambetta. Par ailleurs, la place de la Première Armée restera ouverte au stationnement, tandis qu’un vide-greniers complet se tiendra sur la place du Marché. Comme chaque année, les commerçants sédentaires sont invités à ouvrir leurs boutiques pour profiter de l’affluence. Les élèves du lycée Jeanne-d’Arc de Bruyères participeront également à l’organisation.

Circulation facilitée​

Pour fluidifier les déplacements, des navettes gratuites circuleront toutes les 20 minutes, de 8 h à 19 h, entre les parkings E.Leclerc (zone Hellieule 2) et Carrefour (Sainte-Marguerite).

Braderie propre et règles strictes​

L’opération « braderie propre » est reconduite : chaque exposant devra repartir avec ses déchets. Faute de quoi, une amende et une exclusion de l’édition 2026 seront appliquées.

Dernières inscriptions possibles​

Les retardataires auront encore une chance : les inscriptions de dernière minute seront ouvertes le jour J, entre 5 h et 7 h 30, au PC braderie, dans la limite des places disponibles.

Rôle pivot administratif/organisation/comptabilité auprès du responsable du bureau d’études (et ponctuellement des chefs de projet). Au quotidien : gestion du courrier/agenda, préparation de dossiers et supports, comptes rendus/notes, suivi parapheurs, classement/archivage, accueil téléphonique, suivi administratif des études (conventions, marchés, échéances), tableaux budgétaires/financiers (CIRIL), appui marchés publics (ordres de service, pièces). Profil : Bac+2 admin/gestion, maîtrise des outils bureautiques, rigueur, esprit d’équipe, connaissance du statut de la FP appréciée. Avantages collectivité (CNAS, transport, prévoyance, “pause sport”).

Lien : https://www.saint-die-des-vosges.fr/votre-mairie/la-mairie/les-offres-demploi/

Tu intègres un atelier de joaillerie local avec un vrai accompagnement métier. Travail minutieux et répétable, respect des gammes et des contrôles, progression sur plusieurs postes (montage, polissage, contrôle visuel…) selon profil. Formation à la prise de poste, horizon d’embauche en CDI après une période d’intérim si ça match. Rythme 35 h, rémunération horaire annoncée autour de 12–12,30 €/h selon sources, + primes usuelles de l’intérim.

Lien : https://actua.fr/offres/emploi/?id=j04sevwxoe&title=operateur-en-bijouterie-h-f

Budget mini, 2 enfants (6 et 9 ans). On a déjà fait la navette des crêtes. Une animation locale, musée, ou balade courte + goûter ? Merci pour vos bons plans.