Courir à Gérardmer c’est autre chose. Tu fais le tour du lac, t’as l’impression d’être un athlète alors que t’es en survêt troué et que tu craches tes poumons. Mais vas-y, avec la flotte, les sapins, l’air qui pique un peu, ça passe crème. Même quand t’en peux plus, tu continues, parce que le décor fait oublier que t’as mal partout. 






